Notre deuxième arrêt (pour 2 nuits) est la plus grande ville de l’ouest de la Roumanie, Timișoara. On nous dit souvent que pour atteindre les pays voisins (Serbie ou Hongrie) en voiture depuis Bucarest, il faut d’abord se tapper les 7 longues heures de conduite vers Timișoara. Et après, il ne reste que 3 heures pour atteindre soit Belgrade (Serbie) ou Budapest (Hongrie).
Timișoara is the place where the spark lighted for the Romanians and the end of their gruesome struggle with the dictator Nicolae Ceaușescu, in December 1989. But fast forward to these days, when Timișoara is getting ready to sparkle as an European Capital of Culture in 2021.
Un trésor architectural de la partie historique de la ville sont les bâtiments de style “secessioniste” découlant du mouvement d’art nouveau viennois. On se met dans le contexte que cette partie du pays faisait partie de l’empire austro-hongrois au début du 20iècle siècle. D’où le surnom que Timișoara a hérité: Little Vienna.
Besides walking around and thinking we might have been too early to come here because of all the construction and facade face lifts for 2021. But that gave us a chance to be quite a ease during this early post lock down period. I will also remember being astonished by the extensive collection in their Art museum where we ended up being alone for our entire visit. We always make a point to discover local artists and are amazed to recognize the ones we are already familiar with.
Et pour terminer ce post sur cette ville, je me dois de mentionner un moyen de transport en commun qui m’a tellement fascinée; des bâteaux sur le canal de la rivière Bega qui sillonne la partie sud de la vieille ville. Et j’en revennais pas du prix non plus : 1 leu (0.33$ cdn). Parfait pour les touristes!