Cette île était notre destination la plus “exotique” qu’on voulait faire en Europe et tout était en place en mars 2020 pour y aller, ayant même convaincu des amis de nous y rejoindre. Quand la tempête Covid est arrivée, étant tout autant sidérés que le reste de la planète, nous l’avons résolument remis en première place des planifications vacances. Deux ans plus tard, nos pieds se sont finalement posés sur l’île de Madère.
Madeira is an island and a Portuguese territory but it’s location is closer to Morocco in the Atlantic ocean. Even if it’s an island, it is not a dream beach destination. Madeira is all mountains and deep valleys making for breathtaking views. Thanks to its excellent road network with pass-through tunnels and elevated highways mostly developed after 1986 when Portugal joined the European Union, it greatly contributed to the development of tourism all year round due to the island’s mild and constant sub-tropical climate.
Les attraits sont plus dans la découverte d’une île tranquille avec sa faune et sa flore exceptionnellement variée, sa gastronomie basée sur les produits de la mer, la canne à sucre (rhum!) et les fruits dont le raisin pour leur fameux vin fortifié de Madère.
But the ultimate attraction to take advantage of all that natural beauty is without a doubt hiking. Especially alongside their levadas, irrigation channels originally built to move water from the rainy higher altitudes to the coastal dry areas of the island. Their sides paths are now officially hiking trails and well marked for distance and level of difficulty. On our first full day, we did a regular hiking trail called ” PR 8 – Ponta de São Lourenço”. Being on the top east part of Madeira, this peninsula offers spectacular views of the Atlantic. The 7km hike is one of the most popular around the island so best to come early to not be behind too many people on its narrow parts.
La deuxième journée s’annonçait encore belle alors nous allions faire notre première levada mais dans la partie nord de l’île, “PR6 – Levada 25 Fontes e Risco“. On s’émerveille de ces levadas qui ont commencées à être construites au 15ième siècle pour l’agriculture et éventuellement le développement de la culture de la canne à sucre et de la production du rhum local. Mais on se doit de souligner qu’à cette époque ce sont des esclaves qui ont été mis à l’ouvrage pour les creuser à travers les montagnes. De nos jours, leur extension totale est d’environ 2,000 km à travers l’ile.
We drove into each area every day as best as we could seeing that the weather forecast wouldn’t improve over the next few days. After this big 11 km hike, we drove back towards the south to Calheta. I wanted to go to a bar! Not any bar, one that I had selected back in the winter of 2020. The Pukiki bar became my little goal towards a post pandemic life. I followed them on Facebook since then and saw that they managed to build a covered patio while waiting for tourists to come back and taste one (or two) of their local rum made cocktails.
Et je finis cette première partie de notre voyage à Madère avec la présentation de notre logis pour la semaine la “Casa D’Alegria”. Une villa traditionnelle de Madère récemment rénovée dans le village de Ribeira Brava, un peu à l’ouest de la capitale mais bien située sur la côte sud ensoleillée. La maison est située sur une falaise et il faut assurément une voiture pour s’y rendre mais en compensation une vue panoramique privilégiée sur l’océan Atlantique et un coucher de soleil si les nuages n’ont pas pris complètement d’assaut le ciel.
La maison de pierres a été restaurée avec soin et décorée avec un thème sympathique de moto. Mais c’est vraiment une maison faite pour un climat doux: aucun système de chauffage et une mini tank pour l’eau chaude (on prenait nos douches à différents temps de la journée). Madère a un climat subtropical avec des étés chauds et des hivers très doux, généralement ensoleillés toute l’année.
Notre grand terrain était sur une pointe et isolée des autres maisons (tout étant en pente sur cette île). Les cactées sont faciles à planter dans toutes sortes de pots et prennent aussi beaucoup d’ampleur dans la nature.
En ce qui a trait des animaux, c’est un peu la même chose qu’en Roumanie pour les chats et les chiens. On en voit qui sont des vagabonds “locaux” et d’autres qui restent enfermés dans leur cour. Notre casa avait sa “chatte” visiteuse bien régulière et quelques fois exigeante pour la nourrir. Un chien passait de temps en temps mais il était beaucoup plus peureux.
Notre surprise fut d’avoir une cage avec 5 lovebirds (parents & 3 rejetons) et 2 cockatiels devant la maison. Ils vivent tous dans une cage fermée sur trois côtés à l’abri des vents à l’année longue. Le propriétaire est venu s’en occuper et nous a montré qu’il y avait des nouveaux-nés “lovebirds” dans la petite boite en arrière. On savait que le soleil était levé lorsqu’on les entendait piailler le matin.
The remainder of that colorful week will be published… eventually but soon enough.
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Wow superbe! Ça donne le goût d’y retourner! Des très belles photos!
Et tes photos m’ont montrée que j’avais juste effleuré la surface.. vous êtes des bons planificateurs de voyage. 😉
What a great trip! Love your impressions & especially your photos !