Il y a de ces destinations où tu te dis que tu finiras par voir plus que leur aéroport. Combien de fois j’ai été à Vienne “the airport”? J’ai arrêté de compter. Et puis finalement, en ce début d’hiver et en pleine saison magique des marchés de Noël, Vienne était ma destination finale, celle où j’ai enfin sorti du terminal et mis les pieds dans cette ville somptueuse.
De Vienne des images du Danube et souvent de Sissi, Élisabeth de Bavière se présente immédiatement à mon imagination. Le film de Romy Schneider des années 1950 a tellement marqué mon imaginaire que je me méfie des versions récentes mais qui sont probablement plus proches de sa vie réelle. Mais il demeure qu’elle fut mariée très jeune à son cousin François-Joseph Ier sans y être préparée. Et c’est grâves à ces alliances stratégiques entre maisons européennes que la dynastie des Habsbourg a règné pendant 600 ans depuis Vienne. Notre guide pour notre walking tour a bien souligné ces mariages arrangés surtout par l’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche qui fut une belle-mère pour la moitié de l’Europe de son ère avec plusieurs de ses seize enfants (dont onze filles) pour solidifier ses alliances. C’est dans ce contexte historique que nous admirons le quartier de la vieille ville qui a certainement gardé cet air classique tout en étant moderne avec ses trams et ses magasins de luxe.
Between the social and cultural encounters of my semi-organized trip, I focused my free time on visiting two museums of modern art in Vienna; the Albertina and the “Upper” Belvedere.
The Albertina presents European classics of modern art of the 19th, 20th, and 21st centuries. But what will remember the most are the temporary exhibits. In particular, the retrospective on Jean-Michel Basquiat life and works who raise to fame in his short life of 28 years. Born in 1960 as the son of a Haitian father and a Puerto Rican mother, the Albertina Museum did a fantastic job in explaining the context of his artworks which started as graffiti in New York and Basquiat’s themes of racism and social exclusion as a Black man.
Amongst museums and despite grey days without a hint of snow, Vienna was clearly in full “Weihnachtsmarkt” season which is an experience as much attended by locals as tourists. There are as much stalls to sell goods than the delicious glühwein or punsch (based on rum and/or brandy) so we soon forget about buying souvenirs after hopping through a few Christmas markets. Our personal quest had become to find the best looking mug to keep as a souvenir. So the cost includes mug & drink and you get reimbursed for the ceramic mug if you bring it back. A way to encourage recycling and keep your drink warm at the same time.
Finalement, la dernière journée nous avions eu le privilège d’être inscrits à tout un programme viennois: une session d’entrainement de l’école d’équitation espagnole et la visite guidée du château de Schönbrunn.
En 2015, l’équitation classique et la Haute École d’équitation espagnole de Vienne a été classée au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Pendant les séances d’entrainement qui sont “ouvertes” au public la semaine, on admire ces chevaux magnifiques qui ne font que vraiment se réchauffer pendant une grande demie-heure pour les chevaux et cavaliers professionnels et un autre 20 minutes pour les jeunes en formation. Pour les 16 Euros dépensés pour ce simple déploiement, je crois vraiment que l’établissement a manqué une belle occasion d’investir dans une technologie d’écouteurs simples pour mieux nous présenter leur école; nous n’entendions pratiquement rien de ce que la présentatrice nous expliquait au micro avec cette acoustique de grande salle ouverte. Par conséquence on perd vite intérêt et aucun souvenir de la boutique peut compenser pour cette expérience.
To top our last day we were treated to see the inside of the magnificent Palace of Schönbrunn. No picture was allowed inside but the virtual “Tour of the Palace” gives you probably more than any selfie. Another Christmas market was installed in front and was as charming and well stocked with Gluhwein as any of the others in town. The Palace is a little outside the center having been officially the main summer residence of the Habsburg rulers in the then country side. The grounds have not made way for any commercial venues and the gardens of the 18th-century palace are grand and walkable up to the hilltop structure with arches called “The Gloriette” constructed in 1775 with no other purpose supposedly than to have something to look at from the Palace by Maria Theresa. It works to attract visitors to see it closer in this winter late afternoon stroll after the tour.
As we returned to the old center, we spend our last evening in Vienna admiring Christmas lights and taking our time in the peaceful atmosphere.
Wonderful and lovely.
Thank you very much Robert!