Choisir une destination qui va nous surprendre et remplir nos yeux d’images moins connues est relativement facile dans cette partie de l’Europe. Mais je constate de plus en plus que je devrais porter une attention significative sur la portion historique avant de partir. Je prends pour acquis que les musées et tours guidés vont me donner ma dose nécessaire d’information pour apprécier l’endroit et son passé. Mais cette fois-ci, on s’est fait un peu prendre. Lors de notre passage à Veliko Tarnovo, la Bulgarie soulignait le jour de leur unification en tant de congé férié et ses musées nationaux étaient fermés.
But in retrospective, we were so content to explore this city on this bright and sunny weekend of September. The area is spread over three hills and the Yantra river is still finding its way in the shared valley.
The area has shown remains dating since the 3rd millenium B.C., but it’s glorious past where Turnovgrad’s nickname (Veliko Tarnovo) “City of the Tsars” came from is dating from the 12th century. Ivan Assen and Peter, brothers and local land owners rebelled against the Byzantine Empire, rulers of the region at the time and they became Tsars in 1187, starting the Second Bulgarian Kingdom era, with its capital Turnovgrad.
Sur la colline mieux placée pour être défendue s’est développée la forteresse médiévale Tsarevets, et d’où gravite l’achallandage touristique de la ville. Sa visite se fait beaucoup mieux le matin: moins de monde et on échappe également au soleil tapant. Aussi, une visite avec l’audio-guide aurait été probablement dû être bénéfique pour comprendre les structures moins re-constituées parce qu’il ne faut pas compter sur les explications du peu de panneaux.
The remaining of our two days stay would be a series of walks in the older parts of the town and looking for our next restaurant for dinner. The holiday weekend has made opportunities less readily available or more crowded.
Sur notre chemin du retour, on ne pouvait pas manquer d’aller voir les ruines excavées d’une ancienne cité romaine (et bizantine par la suite), Nicopolis ad Istrum. Un site que nous avons trouvé exceptionnel. On peut seulement constater que le travail des archéologues est loin d’être fini pour une ville qui a eu une population de 5,000 habitants répartis sur plus de 20 hectares (50 acres).
Thank you for this, Suzanne. I was in Veliko Tǎrnovo in 1978, so a long time has passed since that, certainly politically, there have been big changes. I’m glad to see it’s still such a pretty town. Maybe I can visit it again one day.