En quittant Timișoara, on prend notre temps étant donné qu’Oradea n’est qu’à 2.5 heures de distance en voiture. Ces villes sont donc souvent comparées pour leur patrimoine unique d’architecture de la période “art nouveau” sécessioniste.
Ce qui rend ce périple encore plus révélateur est de se rendre compte que toute la route entre les deux villes longe la frontière avec la Hongrie. On y voit régulièrement des directions vers les postes frontaliers. C’est à la suite du traité de Trianon de 1920 que la Hongrie a perdu 2/3 de sa superficie totale, conséquence directe de la première guerre mondiale. La Roumanie s’est fait donnée toutes les régions actuelles de sa partie ouest ainsi que toute la Transylvanie.
For that new region on our journey (Bihor), we used a detailed map full of little local attractions picked up at a travel exposition in Bucharest. At this organisation’s booth, we were amazed how much they were organized and opened up new possible vacation plans to just come for their hiking trails, cavern exploration & via ferratas with friends. Here’s their website: discoverbihor.
Premier arrêt du trajet est pour voir une ruine d’une basilique qui remonterait au moins jusqu’à 1241 au moment de l’invasion des Tartars. Mais cette ruine se situe maintenant un peu distante encerclée par les maisons du village de Tămașda et une haute clôture.
Second stop is another ruin but this one is totally more approachable once you locate it in the middle of corn and wheat fields just outside the village of Cheresig. It was part of a bigger walled defensive system from at least the 13th century but only this watchtower remains visible today. Here’s a neat blog post a little part of its past and drawings of what it looked like in better times: CHERESIG FORTRESS.
Et nous arrivons à Oradea dans l’après-midi! Oui, des très beaux examples d’architecture “art nouveau viennois” du début du 20e siècle tout comme à Timisoara mais avec des couleurs plus vibrantes encore! Malheureusement beaucoup de travaux de réfections sont en marche et limite le plaisir d’admirer le tout dans sa splendeur.
Et pour plus d’informations et d’images de ces merveilles, je vous recommande de consulter le site: Oradea Heritage
