Le monastère Rila en Bulgarie, qui est assez proche de la capitale Sofia pour une excursion d’une demi-journée est sans contre-dit le plus beau complexe monastique que j’ai jamais vu. Désigné comme site du patrimoine mondial UNESCO en 1983, il n’a pas vendu son âme au tourisme: aucun stand de bouffe, un mini-stationnement pour accommoder tout l’achalandage qu’il doit y avoir les fins de semaine et des gardes pour veiller à la bonne conduite des visiteurs (habillement convenable, limitation du bruit, aucune photographie à l’intérieur de l’église).
The Rila Monastery was founded by Saint Ivan Rilsky (John) de Rila around the year 930. Since then, it was moved in 1335, looted and destroyed by the Ottomans in the beginning of the 15th century, destroyed partly by fire in 1833 and each time, reconstructed with the aid of people donations and the non-paid work of thousands of masons, carpenters and auxiliary workers.
La construction de l’église principale dans la période de de la Renaissance bulgare (fin XIXe siècle) donne l’occasion aux frères Zahari and Dimitar Zograf de peindre les fresques du portique (celles qu’on peut photographier en tant que visiteur). En plus des figures saintes dont le Saint Ivan de Rila, on retrouve les thèmes qui reviennent souvent dans la religion chrétienne orthodoxe: le jugement dernier et les multiples façons dont les saints ont souffert le martyr.
We should have spent more time in this peaceful place but the 6 hour road trip and the intense heat left us exhausted after one hour of visit. On our way out, I caught this scene of young people trying to argue their way into the premises. Pictograms are simply not explanatory enough.