Avec un enthousiasme qu’aucun obstacle n’a pu ralentir, notre trio d’amies se sont lancées à la quête photo, le temps d’un weekend, de deux phénomènes du printemps dans la région de Tulcea dans le Dobrogea de la Roumanie: la floraison des pivoines sauvages et l’arrivée des pélicans. Que de belles images nous allions capturer!
First thing in our trip plan: lodging. We wanted to be strategically positioned to go see the famous “bujor de stepă” (steppe peony). One of the lodging had proudly publicized their area and obviously knew about the exact location of the peonies: “Nearby Enisala village, in Dobrogea, Romania, between the beach and oak forests one can find a breathtaking reservation of wild peonies. The contrast between the green forests and the red peonies offers a great nature view”. After a few personal calls and emails, and having clearly stated that we were coming to see the peonies in bloom, the “manager” of that accommodation failed to honor our request for that criteria and the confirmation of our reservation for a 3rd night the day before our arrival. So after this miscommunication to say the least, we quickly booked “electronically” somewhere else, not having a good vibe for that place after that deception and definitely on the no-no list.
Notre périple n’étant que de 4 heures vers notre hotel, nous avions le temps d’arrêter sur notre chemin. Notre choix s’est arrêté sur le site archéologique d’Histria, la plus vieille cité sur le territoire roumain datant du 7ième siècle avant J.C. Bâtie par les Grecs (pour qui “Istrios” était leur nom pour le Danube), son importance pour le commerce sur la Mer Noire a contribué à son développement continu pendant 1,300 ans en passant par les Romains et la période byzantine. On doit à Ernest Desjardins, un archéologue français sa “redécouverte” en 1868 et depuis 1914, toute une succession d’archéologues roumains y ont fait des excavations.
Notre deuxième contre-coup du destin fut au sujet de notre excursion de bateau dans le Delta pour voir les oiseaux et spécialement les pélicans qui y migrent au printemps pour avoir leur bébés. Notre réservation d’un tour avec un guide, re-confirmée le matin de la veille de l’expédition, fut annulée quelques heures après. Mais il nous offrait les services de son cousin qui parlait un très bon anglais. N’ayant pas d’autres options en réserve, nous décidions de faire confiance au destin dans ce cas-ci et d’y aller avec la famille!
The following day after a warm welcome and restful night into our last minute accommodation find, we headed for our close-by departure by boat with Juri, the “cousin”. What reassured me from the beginning is that he pulled out a nice map (which I would have bought for myself) and showed us where we would be going.
Our boat ride was to be dealing with the waves all day. The windy conditions affected our view most of the time (keeping our boat’s plastic curtains down to avoid being splashed), our cameras not being able to focus on wildlife most times, and the lesser number of birds seen, understandably staying sheltered with the young ones on that particular day.
A l’heure du lunch, un repas traditionnel nous attendait à Sfântu Gheorghe, une petite ville tout au bout d’un des trois bras du Delta. Aucune voiture ne peut se conduire jusque-là à moins d’avoir un super 4×4 et même ce n’est pas une option sur laquelle on peut compter. Les embarcations fluviales sont le moyen de transport entre les villages et bien sûr les nombreux bâteaux de touristes.
During our boat day, we were wondering how to find those famous wild peonies the next day, having lost our only solid lead with the first lodging choice. During our lunch, our co-riders (2 Romanian families) started to discuss amongst themselves about “bujori” (peonies) and we immediately inquired with them if they knew where they were. They said that their own pension’s owner was going to lead them when they would return later today so we exchanged phone numbers so they can let us know the location. So the next day, we went on to our great peony quest!
Même avec une location de “Google Maps”, la quête fut plus une grande marche dans les environs.. dont dans un champ qui sert d’entrainement militaire! Mais avec l’aide de d’autres chercheurs de fleurs, nous allions finalement trouver cette terre de pivoines de la steppe roumaine sur le haut d’une colline. Nous étions très heureuses de les avoir trouvées même si seulement quelques une étaient écloses. Le printemps dans la région était en retard par rapport aux années antérieures.
I believe that spring is the ultimate time to come in the Dobrogea and the Danube Delta. Nature is clearly waking up so beautifully and next time (year?), I would not go before mid-May!