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Le chemin tracé par Philippe de Macédoine

Malgré la chaleur intense cet été, nous ne pouvions partir du pays sans au moins visiter “un” site archéologique de Grèce antique sur notre route du retour.  Le choix s’est porté sur une site UNESCO qui doit son nom à Philippe de Macédoine, Philippi. Philippe et son illustre fils “Alexandre le Grand” marquèrent l’histoire de l’empire grec en repousant les invasions des Perses et en étendant leur empire jusqu’au Moyen-Orient. La position de Philippi en 356 avant J.C. fut une bonne affaire pour Philippe de Macédoine, puisqu’il contrôlait aussi les mines locales d’or et d’argent.  Et malgré la conquête de la région par les Romains quelques siècles plus tard, Philippi demeurra prospère pendant un certain temps et deviendra même une petite “Rome”.



Philippi would also received the visit of the Apostle Paul a few times, even being imprisoned there (and later liberated) because he was accused of having “disturbed the city”.  He managed to found his first European church in 49/50 AD. His commitment to his early Christians followers has been shown in three letters, called Epistle of St. Paul the Apostle to the Philippians which ended up being the eleventh book of the New Testament.



Le lendemain, c’est vers le nord qu’on chemine comme l’a fait notre Philippe II de Macédoine en 342 avant J.C. en recherche d’une autre ville à renommer à son nom: Philippopolis, plus connue aujourd’hui sous Plovdiv en Bulgarie.  Nous y avions déjà séjourné l’année dernière (relaté dans cet article) et c’est avec plaisir que nous la retrouvons toujours aussi sympathique à nos yeux.  

Being a well developed city these days and having received the honor of being the first ever Bulgarian city to be chosen as European Capital of Culture in 2019, not much of Philippe’s era is visibly noticeable after 2 millennia of occupation.  But during his time, Philip had expanded and fortified the existent Thracian town formally called Eumolpia and organized it with a Greek grid street plan, called gridiron, marking the importance of the city.  



Lors de ce passage à Plovdiv, nous avons concentré nos visites dans les grandes maisons des marchands (devenues des musées de la ville) de la période de la renaissance Bulgare vers la fin du 18ième et pour la plupart du 19ième siècle.  Ces riches marchands bulgares, grecs et arméniens qui faisaient le commerce dans tout l’empire ottoman (la Bulgarie étant occupée), employaient des artisans bulgares pour construire leur maisons familiales.  N’ayant pas demandé la permission de prendre des photos à l’intérieur, voici un aperçu d’une de ses maisons-musées:  Hindliyan House Museum.  Et en attendant d’y retourner éventuellement parce que c’est une ville qui n’en finit pas de nous surprendre, je vous laisse sur les petits quelques détails de l’extérieur de ces maisons.